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Cohérence cardiaque et réponse émotionnelle

Le biofeedback de cohérence cardiaque et de réponse émotionnelle:

le contrôle cardiaque pour retrouver le calme

Le biofeedback de cohérence cardiaque et de réponse émotionnelle est un outil simple, ludique et interactif destiné à apprendre à agir efficacement, par soi-même. Le BC2RE repose sur le contrôle cardiaque pour ramener le calme dans l’ensemble du corps, cerveau compris, face aux situations que l’on ne peut pas complètement dominer par la volonté ou le raisonnement. La variabilité du rythme cardiaque est mesurée, de façon fine et non invasive et visualisée sur un écran d’ordinateur. Ainsi il devient possible d’observer l’effet de toute action sur le rythme cardiaque. C’est pourquoi le BC2RE peut être exploité, pour améliorer/ renforcer le cœur dans sa dimension mécanique (la pompe qui distribue le sang). De même il rend aisé l’accès à la pratique de différentes méthodes pour réguler les émotions.

Les applications se déclinent dans les domaines de l’entreprise, du sport, de l’apprentissage, de la santé, du bien-être et du développement personnel. Son efficacité a été confirmée pour diminuer les effets négatifs du stress, mieux faire face aux émotions, aux phobies, à la panique. C’est un soutien pour prévenir les rechutes anxieuses et dépressives. L’approche trouve également des applications pour améliorer les troubles de l’attention, des apprentissages, du langage, de la mémoire et du comportement. C’est un bon support dans la gestion de la douleur. Il a montré son utilité pour lutter contre l’insomnie, les migraines et céphalées de tension. Le biofeedback de cohérence cardiaque et de réponse émotionnelle est utilisé pour l’accompagnement lors de sevrage médicamenteux et addictologie. Enfin, l’outil peut être utilisé, notamment chez le sportif, pour l’optimisation des performances et la récupération à l’effort.

Des séances individuelles de BC2RE pour apprendre à agir par soi-même sur le cœur, pour améliorer sa capacité à passer d’un état d’excitation, de stress ou d’émotions négatives à un état de calme.

 

1. Le cœur mécanique

1.1 L’Arythmie Respiratoire Sinusale Respiratoire

1.2. La Variabilité de la Fréquence Cardiaque

i. « L’incohérence » cardiaque

ii. La cohérence cardiaque

1.3. Mesure de la variabilité de la fréquence cardiaque

1.4. Les exercices de biofeedback de cohérence cardiaque

 

Le cœur est un muscle dont la contraction automatique et rythmique est assurée par un système nerveux intrinsèque de 40000 neurones. C’est la pile, le pacemaker naturel. C’est grâce à ce système nerveux intrinsèque, que le cœur réalise son travail de pompe qui délivre le sang dans tout l’organisme.

On imagine que le cœur bat avec la régularité d’un métronome : boum/boum, boum/boum. Et bien non, le cœur a, fort heureusement, ses petites « fantaisies ». Elles se nomment l’Arythmie respiratoire sinusale et la Variabilité de la Fréquence Cardiaque.

1.1. L’Arythmie Respiratoire Sinusale

Le rythme cardiaque accélère à l’inspiration et ralentit à l’expiration. C’est ce que l’on appelle l’Arythmie Respiratoire Sinusale, ARS. Étymologiquement, arythmie signifie « absence de rythme ou de proportion ». Sinusal, se réfère au nœud sinusal, c’est-à-dire à la pile (au pacemaker naturel) qui fait fonctionner le cœur. En conclusion, l’ARS indique une absence de rythme du nœud sinusal liée à la respiration (d’où le terme de respiratoire). L’ARS est fort heureuse puisqu’elle permet de maintenir un débit cardiaque stable et constant.

Pour en savoir plus sur l’ARS

1.2. La Variabilité de Fréquence Cardiaque

De façon imperceptible, l’intervalle de temps séparant deux battements cardiaques consécutifs est naturellement variable. La différence est vraiment minime et existe même au repos. Le cœur bat parfois un peu plus vite et parfois un peu moins vite. C’est ce que l’on appelle la Variabilité de la Fréquence Cardiaque, VFC. Cette variabilité permet une adaptation instantanée aux changements environnementaux, aux modifications intérieures ainsi qu’aux pensées, aux émotions.

La VFC reflète l’influence des informations transmises par le cerveau à l’ensemble de notre organisme. Mais elle traduit aussi l’envoi au cerveau, en feedback, par des circuits de rétroaction, de messages cognitifs, de sensations physiques, de changements de notre tension artérielle, de notre respiration, de nos d’émotions. En effet le cœur est en connexion permanente avec l’ensemble de du corps et particulièrement avec le cerveau.

Le cœur s’adapte à la demande du cerveau, et le cerveau réagit aussi, en permanence, aux informations venues du cœur.

i. « L’incohérence cardiaque »

La mesure des infimes écarts de temps séparant deux battements cardiaques consécutifs a montré que la Variabilité de la Fréquence Cardiaque (VFC) devient plus chaotique et que son amplitude (points bas et points hauts de la courbe) diminue chez un certain nombre de personnes.  Ainsi est-ce le cas chez les gens souffrant de troubles psychologiques et psychosomatiques – stress, anxiété, phobies, stress post-traumatique. Ceci a également été noté chez les adultes souffrant d’hypertension, de troubles cardiovasculaires et respiratoires, d’asthme. Enfin, la même observation a été réalisée chez les personnes diabétiques, atteintes de maladies inflammatoires, de douleurs chroniques, de fibromyalgie. Cette liste de troubles responsables d’une VFC plus chaotique et moins ample n’est pas exhaustive.

 

Variation chaotique de la fréquence cardiaque au cours du temps

Cohérence cardiaque

L’amplitude sur cet exemple varie entre, 73 et 79 battements par minutes (BPM) environ

Lorsque le rythme cardiaque est désordonné et irrégulier, les signaux envoyés par le cœur vers le cerveau limitent nos capacités. Ainsi avons-nous plus de difficulté à penser clairement, se souvenir, apprendre, raisonner et prendre des décisions efficaces. C’est la raison pour laquelle nous pouvons éventuellement agir de manière impulsive et imprudente. Ou encore prendre des décisions sur « un coup de cœur » quand nous sommes sous l’emprise du stress.

Ce fonctionnement épuise notre énergie et produit une usure supplémentaire de notre organisme (en plus de l’usure liée au vieillissement). Une VFC chaotique et faible indique un système plus rigide, ayant plus de difficultés à faire face aux contraintes extérieures. Le manque de flexibilité et la « rigidité » du système jouent probablement un rôle dans les conséquences négatives du stress.

ii. La cohérence cardiaque

À contrario, dans les états de bien-être, de calme, l’alternance des accélérations et décélérations de la fréquence cardiaque devient régulière et cohérente et l’amplitude de la VFC augmente. C’est ce que l’on appelle la cohérence cardiaque.

Variation cohérente de la fréquence cardiaque

Cohérence cardiaque

L’amplitude sur cet exemple varie entre 65 et 80 BPM environ

Un rythme cardiaque cohérent ouvre une cascade événements hormonaux, neuronaux et biochimiques extrêmement bénéfiques pour l’ensemble de notre physiologie. Ainsi

en quelques minutes, le cortisol, hormone sécrétée par les glandes corticosurrénales en cas de stress durable, diminuera. (L’adrénaline est sécrétée en réponse à un danger imminent). L’influence du cortisol est non négligeable dans les affections tel le diabète, la dépression, les maladies cardio-vasculaires, les maladies inflammatoires

le taux de « l’hormone de jouvence » DHEA, augmentera pour 4 à 6 heures

la sérotonine et de la dopamine, qui jouent un rôle actif dans l’humeur et le sommeil, sont modulées

les immunoglobulines A qui améliore l’immunité sont augmentées

la pression artérielle baisse de façon sensible

le métabolisme des sucres avec régulation de l’insuline et de la glycémie est amélioré

le poids est régulé. En effet, le poids est une donnée physiologique réglée par le système nerveux autonome (voir plus loin). Comme le cœur est au centre du système nerveux autonome, agir par la cohérence cardiaque peut s’avérer utile et efficace

la clarté mentale est accrue et les perceptions intuitives sont stimulées

la performance, physique comme intellectuelle, notamment la mémoire, est augmentée

la prise de distance et le lâcher prise sont facilités

l’anxiété, la dépression, l’hostilité sont diminuées

l’optimisme est amélioré

les ondes alpha cérébrales, qui sont les ondes d’éveil calme sollicitées dans les techniques de l’hypnose notamment, sont augmentées.

Il faut savoir que le cœur est le système oscillateur le plus puissant du corps humain. Le rythme qu’il génère, lorsqu’il est cohérent, est capable de synchroniser plusieurs systèmes physiologiques : le cerveau et les ondes cérébrales, la respiration, le système baroréflexe qui gère la pression sanguine. De même, les signaux du cœur sont transmis vers le cerveau. Ils impactent profondément la perception de notre environnement de même que les fonctions cognitives.

Ainsi la cohérence cardiaque permet-elle :

La capacité de modification de la fréquence cardiaque et de l’amplitude de la VFC, traduisent la flexibilité et l’adaptabilité de notre organisme. Cela affecte aussi profondément la façon dont nous percevons, pensons, sentons, et agissons. Le fonctionnement est plus harmonieux et l’efficacité accrue. Ce sont des indicateurs de santé reconnus par les cliniciens depuis plus de trente ans. Apprendre à générer et entretenir une VFC cohérence et de grande amplitude, présente très clairement un intérêt pour notre santé. Ainsi, l’exercice physique régulier, le yoga, la relaxation, la méditation, permettent-ils d’augmenter la Variabilité de la Fréquence Cardiaque. Celle-ci peut également être améliorée par d’autres pratiques comme les massages, le biofeedback de cohérence cardiaque, l’EMDR…

Pour en savoir plus sur la VFC

1.3. Mesure de la Variabilité de la Fréquence cardiaque

Un capteur positionné sur le doigt ou sur l’oreille assure une mesure facile, non-invasive, fiable et objective de la variation de la fréquence cardiaque (biofeedback de cohérence cardiaque) et de notre capacité à passer d’un état d’excitation, de stress ou d’émotions négatives à un état de calme (biofeedback de réponse émotionnelle). La visualisation sur l’écran d’ordinateur permet, en temps réel, d’évaluer l’impact de toute « action » sur la VFC. Ce retour d’information (feedback) représente incontestablement un atout pour identifier les moyens d’entrer en cohérence cardiaque et entraîner le cœur à fonctionner sur un rythme cohérent. C’est aussi une information précieuse pour optimiser l’entrainement pour augmenter l’amplitude de la VFC. Enfin, c’est un renseignement appréciable pour retrouver la stabilité émotionnelle.

 

1.4. Les exercices de biofeedback de cohérence cardiaque

Les exercices de biofeedback de cohérence cardiaque permettent d’apprendre à initier la cohérence cardiaque par la respiration. Physiologiquement, l’activité du cœur influence notre rythme respiratoire et non l’inverse. Mais la respiration est une porte d’entrée accessible pour entraîner le cœur dans un schéma d’accélérations/décélérations ample et harmonieux. L’objectif est d’atteindre l’état de cohérence cardiaque afin d’entraîner l’ensemble de la physiologie, dont la respiration, dans un fonctionnement optimal.

Les exercices permettent également une augmentation/rééducation de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC).

L’état de cohérence n’implique pas nécessairement une baisse du rythme cardiaque ou un changement de l’amplitude de la VFC. Il n’y a pas non plus de perte de la vigilance.

2. Le cœur émotionnel

2.1. La connaissance populaire

2.2 Les données biologiques

i. Le cœur une glande endocrine impliquée dans les émotions

ii. Les neurones du cœur : une composante clé du système émotionnel

2.3 Les exercices de biofeedback de réponse émotionnelle

2.1 La connaissance populaire

Selon Blaise Pascal : “Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point”. Et pour François de La Rochefoucauld « L’esprit est toujours la dupe du cœur ». Dans presque toutes les cultures, le cœur est considéré comme une source de sagesse, de perspicacité spirituelle. Il est le centre de la pensée et de l’émotion. D’ailleurs le nombre d’expressions populaires françaises impliquant le cœur est impressionnant. Nous en « avons gros sur le cœur », nous « avons le cœur lourd ou brisé », nous « n’avons pas le cœur à faire quelque chose ». Au contraire « nous faisons quelque chose sur un coup de cœur ou de bon cœur », nous pouvons « mettre du baume au cœur », « avoir le cœur léger », « mettre du cœur à l’ouvrage », ou encore « avoir le cœur qui bat la chamade ». Et ce ne sont là que quelques exemples ! Puis, avec les progrès de la connaissance scientifique, ces expressions n’ont plus été considérées que comme des métaphores. Le cœur n’était rien de plus qu’une pompe de distribution du sang. Mais la connaissance ne s’arrête jamais. Ainsi, des données scientifiques récentes semblent indiquer que ces expressions populaires sont peut-être bien plus que des images.

2.2 Les données biologiques

i. Le cœur : une glande endocrine impliquée dans les émotions

En 1986, M. Cantin et J. Genest décrivaient le cœur comme une glande endocrine. Depuis, plus d’une centaine d’articles mentionnent que le cœur sécrète des hormones ainsi que des neurotransmetteurs. Hormones et neurotransmetteurs représentent la voie de communication biochimique entre le cœur et le cerveau.

Parmi ceux-ci nous pouvons citer l’ocytocine qui intervient lors de l’accouchement et de l’allaitement. Plus récemment son rôle dans les fonctions cérébrales, le développement affectif et l’adaptation a été mis en évidence.

Le cœur produit aussi de la dopamine. Bien que très minoritaire dans le cerveau, elle sert notamment à renforcer des comportements tels que l’alimentation. Elle joue un rôle dans la motivation en fonctionnant sur une sorte de système de récompense. Cette molécule est également impliquée dans certains plaisirs abstraits comme écouter de la musique. Elle joue aussi un rôle actif dans l’humeur.

Enfin, le facteur natriurétique auriculaire participe non seulement à l’homéostasie et intervient également au niveau du cerveau. Le FNA est exprimé, entre autres, dans le système limbique aussi appelé cerveau émotionnel. Le cerveau limbique joue un rôle très important dans diverses émotions comme l’agressivité, la peur, le plaisir. De même, des personnes souffrant de désordres liés à l’anxiété, incluant la panique, présentent des taux faibles de FNA. Enfin, le FNA inhibe la sécrétion de cortisol, hormone sécrétée par les glandes corticosurrénales en cas de stress durable. (L’adrénaline est sécrétée en réponse à un danger imminent). L’influence du cortisol est non négligeable dans les affections tel le diabète, la dépression, les maladies cardio-vasculaires, les maladies inflammatoires.

ii. Les neurones du cœur : une composante clé du système émotionnel

Notre cœur et notre cerveau travaille en étroite collaboration sous le contrôle permanent du SNA. Ils échangent des informations entre eux via le nerf vague et les nerfs du système nerveux sympathique. Le cœur s’adapte à la demande du cerveau, et le cerveau réagit aussi, en permanence, aux informations venues du cœur.

Les structures cérébrales influencées par les messages neuronaux en provenance du cœur

Les informations en provenance du cœur peuvent influencer, entre autres, l’activité de l’hypothalamus, du thalamus, du complexe amygdalien. Souvenons-nous que l’hypothalamus est le cerveau du système nerveux autonome. Il établit des relations neurologiques avec les parties profondes du cerveau : le thalamus, le système limbique, le cortex frontal. Le thalamus intervient dans la régulation de la conscience, de la vigilance et du sommeil. Le cortex préfrontal gère les fonctions cognitives supérieures : langage, mémoire de travailraisonnement, et plus généralement les fonctions exécutives. Il est aussi la région du goût et de l’odorat. Le système limbique, lui, est le siège des émotions. La plupart de nos émotions y prennent naissance.

En fait, les informations en provenance du cœur, affectent l’activité de la majorité des centres supérieurs.

Le rôle de la Variabilité de la fréquence cardiaque

L’information la plus importante transmise au cerveau par le cœur semble être la Variabilité de la Fréquence Cardiaque (VFC) (McCraty, R. and Shaffer, F). Ainsi lorsque le rythme cardiaque est désordonné et irrégulier, les signaux neuronaux envoyés par le cœur vers le cerveau limitent notre capacité à penser clairement, se souvenir, apprendre. C’est également la raison pour laquelle nous pouvons avoir des difficultés à prendre des décisions efficaces. Le raisonnement peut être « altéré » Ainsi nous pouvons éventuellement agir de manière impulsive et imprudente. Ou encore, sous l’emprise du stress, nous pouvons prendre des décisions sur « un coup de cœur ». Cela explique également que certaines grandes peurs sont à tout jamais inscrites dans notre mémoire. Le cœur va en effet renforcer l’expérience émotionnelle de stress durant l’apparition des émotions stressantes ou négatives.

Au contraire, lorsque des informations d’une VFC cohérente sont envoyées au cerveau, elles l’amènent à se synchroniser avec le cœur. Cette synchronisation stimule les fonctions cérébrales supérieures. Ainsi, la clarté mentale est accrue et les perceptions intuitives stimulées. Les performances physiques comme intellectuelles, notamment les performances cognitives et la mémoire sont augmentées. Elle apporte également calme, clarté d’esprit, performances intellectuelles et intuition. La prise de distance et le lâcher-prise sont facilités. L’anxiété, la dépression et l’hostilité diminuent et l’optimisme augmente. Des études cliniques centrées sur les émotions ont montré qu’un fonctionnement cardiaque cohérent avec une amplitude élevée favorise une meilleure régulation affective. Les relations sociales sont meilleures. Les facultés pour faire face aux agents stresseurs sont plus grandes. Les capacités d’adaptation sont également plus importantes. Notre corps et notre cerveau fonctionnent mieux.

La VFC affecte profondément la façon dont nous percevons, pensons, sentons, et agissons. Ainsi, le coeur joue assurément un rôle majeur dans la détermination de la qualité de nos expériences émotionnelles.

 

2.3 Les exercices de biofeedback de réponse émotionnelle 

Les exercices de biofeedback de réponse émotionnelle consistent à coupler la cohérence cardiaque avec différentes méthodes centrées sur les modifications de conscience, le travail d’attention et de concentration, le travail sur les pensées (méditation, hypnose, sophrologie, imagerie mentale). Cela permet de retrouver la flexibilité du SNA en stimulant le tonus vagal. Ainsi l’équilibre émotionnel face au stress est facilité. De plus, l’influence délétère, sur l’état émotionnel et la santé, des stimuli reçus constamment par notre organisme, est aussi limité.

L’objectif est de régulariser les dysfonctions émotionnelles qui s’opposent à la stabilité de l’humeur et génèrent de l’anxiété.

Quelle que soit l’activité, il est impossible d’atteindre un niveau de 100% en permanence. L’objectif est de travailler la flexibilité du SNA via le parasympathique principalement.

Bibliographie

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The heart as an endocrine organ, T. Ogawa & A. J. de Bold, Endocr Connect. 2014 Jun 1; 3(2): R31–R44. Published online 2014 Apr 15. doi:  10.1530/EC-14-0012

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Natriuretic hormones in brain function, A. Hodes and D. Lichtstein, 2014, Frontiers in Endocrinology, 5, 20- , doi:  10.3389/fendo.2014.00201

Heart rate variability : new perpectives on physiological mechanisms, assessment of self-regulatory capacity and health risk, McCraty, R. and Shaffer, F., 2015, Global Advances in Health and Medicine, 4, 46-61, doi:  10.7453/gahmj.2014.073

The coherent heart : heart-brain interactions, psychophysiological coherence, and the emergence os system-wide order. McCraty, R. Atkinson, M ;, Tomasino, D. and Bradley, R.T., 1009, Integral Review, 5, 10-115

http://www.coherence-cardiaque.com/article_coeur_cerveau_interactions.html